PetitRenard : Merci pour ces gouttes d'or, dans ce désert qui dort...
Kabotine : j'ai failli croire que ce blog était vide... mais en faisant défiler le joli fond je n'ai pas été décue...
PetitRenard : Oupsss, merci d ton obstination et de ton passage... En effet, ça passe mal sous Internet Explorer... Firefox me convient sans doute mieurx ;)
becassine : Bonsoir Petit Renard , j'aime bien ton désert ..ce ti soleil au loin ...cet étendue de sable ...on doit être bien !:)
PetitRenard : L'Adrar sous le vent, un premier de l'an... Merci de ton passage ;)
becassine : Bisous petit renard :)
PetitRenard : Kikoo becassine. Big Bisous et Bonne Année ;)
gribouillon : un petit bonjour en passant...cela fait si longtemps :)
PetitRenard : Coucou gribouillon! Cela fait si longtemps en effet!!! Heureux de te voir passer, au gré du vent!
MangakaDine : Salut PetitRenard, je t'écris ici parce que j'espère que cet endroit tu en prends encore soin et que tu ne vas pas le laisser à l'abandon. Voici un petit article pour éradiquer les spams de Joueb, si jamais ca te dit de venir nous aider, c'est par là : [Lien]
PetitRenard : Merci MangakaDine, j'ai en effet pris soin de réserver le mode Admin à quelques élus... (j'aime pas les spams)!
Je crois profondément que l'Homme naît bon, que c'est dans sa nature,
Mais il est des expériences qui lui font affront, ces épreuves qu'il endure
Alors il se crée de multiples protections, se bâtit une solide armure
Mais lui restent au fond ses questions, et resurgissent ses blessures.
Il préférerait de loin se taire, pour ne jamais accepter un instant,
Les douleurs qu'il ressent solitaire, la faiblesse de ses sentiments.
Comme un animal apeuré se terre, il fuit en reniant ses tourments
Il se forge un puissant caractère, mais l'amour restera à jamais désarmant.
L'on peut renier beaucoup de choses, refuser l'existence des aimants,
Se gargariser de non sens en overdose, jusqu'à ignorer ses fondements
On attends de nos amis qu'ils n'osent nous pousser dans nos retranchements
Fermer nos coeurs, fenêtre close pour ne jamais regarder le firmament.
L'amour est au fond tellement subtil, que beaucoup n'osent plus y croire
Si les expériences les plus viles, nous ont poussé au sombre désespoir
Il n'a jamais été donné comme facile, le plus dur au fond est de bien savoir
Qu'il ne tient souvent qu'à un fil, et qu'il est plus difficile de bien le recevoir.
Nous nous illusionnons aisément à reconnaître nos ennemis dans les autres
Nous les trouvons blessants ou décevants, mais en fait la souffrance est bien nôtre
Et si tout cela est des plus éprouvant, ne serions nous pas de meilleurs apôtres
En acceptant plus naïvement, que notre pire ennemi est en nous et rien d'autre...
Alors je ne cesserais de croire en cette humanité et d'avoir pour elle l'espérance
Même si je suis parfois désenchanté je crois vraiment que les souffrances
Lorsqu'elles sont simplement partagées, perdent de leur triste puissance
Et cela vaut mieux que de se protéger derrière une apparente indolence.
Et si mes mots peuvent parfois blesser, que l'on veuille pardonner mon insolence
Je ne sais pas toujours très bien m'exprimer, reste en moi cette part d'insouciance
Mais je continuerai à aimer contre vents et marrées, et malgré toutes les ignorances
Je resterais fidèlement à mes amis attaché, et à mon prochain faire confiance.