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myel : Un brin de pluie pour réveiller ton désert
PetitRenard : Merci pour ces gouttes d'or, dans ce désert qui dort...
Kabotine : j'ai failli croire que ce blog était vide... mais en faisant défiler le joli fond je n'ai pas été décue...
PetitRenard : Oupsss, merci d ton obstination et de ton passage... En effet, ça passe mal sous Internet Explorer... Firefox me convient sans doute mieurx ;)
becassine : Bonsoir Petit Renard , j'aime bien ton désert ..ce ti soleil au loin ...cet étendue de sable ...on doit être bien !:)
PetitRenard : L'Adrar sous le vent, un premier de l'an... Merci de ton passage ;)
becassine : Bisous petit renard :)
PetitRenard : Kikoo becassine. Big Bisous et Bonne Année ;)
gribouillon : un petit bonjour en passant...cela fait si longtemps :)
PetitRenard : Coucou gribouillon! Cela fait si longtemps en effet!!! Heureux de te voir passer, au gré du vent!
MangakaDine : Salut PetitRenard, je t'écris ici parce que j'espère que cet endroit tu en prends encore soin et que tu ne vas pas le laisser à l'abandon. Voici un petit article pour éradiquer les spams de Joueb, si jamais ca te dit de venir nous aider, c'est par là : [Lien]
PetitRenard : Merci MangakaDine, j'ai en effet pris soin de réserver le mode Admin à quelques élus... (j'aime pas les spams)!

Dimanche (21/09/08)
On se fait une ligne?
--> (Episode 2)

Sur l’ancienne place du Trône-Renversé, carrefour de bien des lignes, je m’étais engouffré dans l’une des bouches comme à mon habitude : la machination allait reprendre le long de la ligne bleue, dans ses boyaux sombres et sinueux. Au premier havre, on profitait a nouveau de la lumière pour replonger vers la station suivante qui me rappelait un bateau incendié : ah les cendres du mât ne fumaient plus guère en ce lieu.


Je me mettais en quête de construire un collier et cherchait quelque fil hypo-gustatif (le fil dentaire n’étant pas assez solide) et des perles à chaise. Un marchand me proposa quelques modèles, mais ni le montant, ni les coloris ne me plurent et leur cours onéreux me dissuadèrent d’en faire acquisition.


Ah la belle vie là, faisait rêver bien des gens en quête de l’Eldorado ; j’aurais surement aspiré à pareille aventure, mais sortant de mes songes, j’oyais le son du célesta ; l’ingrat de service fit détaler le joueur à la sauvette et les vendeurs de passage. L’achat pèlerin n’était pas autorisé en ces lieux.


Tandis que l’attention des contrôleurs à la barre baissait, un vendeur parvint à placer quelques accroche-choux artistiques qu’il fixait à l’envers des manteaux féminins, par dépit galant sans même effleurer les intouchables hanches.  Ici les femmes d’une autre classe, deux plis chics à la taille, fleuraient quelques parfums aux arômes enivrant.


Je suivis un couple et les vis liés, étant moi même poussé par quelque sentiment étrange, ou je ne sais quel démon saugrenu : je cherchai dans ma poche la photo d’une femme, pour unique secours, celle face à qui toutes les autres devaient paraître bien ternes. Et je partis dans une étrange envolée lyrique, rêvant de réunifier sur mon char les deux Gaules et toilettant mon cheval.


Ce dernier s’arrêta sur la chaussée provoquant un soudain embouteillage. A défaut de triomphe, je me retrouvais blême devant mon civique tort « Hue ! Go ! » criai-je à ma monture ; elle repartit enfin pour se retrouver aspergée après la dernière porte, d’eau fine qui venaient des fontaines voisines.


C’est là que prit fin mon voyage bleu: accompagné d’un ami allemand, Herr Heuerr-See, je revenais sur paris et suite à quelque correspondance me retrouvais au bercail pour noter toute cette aventure.

Ecrit par PetitRenard, à 19:44 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Mercredi (18/06/08)
Le temps qui passe...
--> ... écrire pour ne pas mourrir
Pourquoi revenir en ces dunes arides quand mon cœur est en rade ? Les mots sont rudes quand l’émotion s’érode, et les passions se diluent tandis que les espoirs se délient. La vie rituelle n'est pas pour moi ni la virtuelle d'ailleurs. Là où les virtuoses en milles vertus osent cent mots, l'avis tue aussi et l'émoi avorté à demi avoué, n'est pas redonné pour autant. L'amertume a pris le pas sur l'omerta post mortem, et se mure en ma mémoire dans un murmure sans fard... Il se fait tard.
Ecrit par PetitRenard, à 22:20 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Mercredi (05/12/07)
On se fait une ligne?
--> (entre deux grèves)

Et une ligne pour la une !

Je m’engouffrais dans la bouche béante, et me retrouvais sur un quai. Soudain mon château devint scène et je dus me courber aux trois quarts pour avancer. D’un pas hésitant, ma main sans détour elle se trouva à portée de vingt saines bouteilles, de renommée pour la Nation. C’étaient un Brouilly, dit de rôt, qu’un garde-lion avait acquis contre une poignée de basses tilles.

Sans savoir comment, je me retrouve étendu entre les cinq pôles d’un pentagramme à l’Hôtel Devil tandis qu’une chatte lèche mes joues. Une odeur pestilentielle sort de sa bouche qui quand elle l’ouvre, rive au lit ! Sortant de ce mauvais pas l’air royal, museau délivré, je revois les gens qui de ma tuile rient !

Jusqu’ici tout concordait et ces mêmes gens sur le chant élisaient Clémence aux victoire de la musique. Frank, l’un des roux sveltes, avait entonné à pleine gorge cinq cantiques qu’avait repris Charles (tout) de go, l’étoile montante qui allait faire un triomphe. Mais il ne la menait pas large en « teen » et son porte maillot-de-bain lui apprendrait bien assez tôt ce que les sables ont de corrosifs quand les plages musicales sont ternes.

Et quand ces fripons de nœuds y mêlent les pistes, est-ce la panade de la défonce, si l’on enlève à la déférence son air pour finir à la défense..

 
(demain, j’arrête le sucre glace… Désolé :s)

Ecrit par PetitRenard, à 19:57 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Mardi (21/08/07)
En vrac
--> (Ca faisait un bail)

Des mots qui restent bloqués derrière les touches de ce clavier. Je le caresse ou le tapote, selon mon stress et les idées qui trottent. Et puis je le renverse un peu, et le secoue un rien curieux. Et par bribes soudaines, les mots tombent et s'enchaînent...

Des mots anodins, des mots sans lendemains.
Des mots sans vie, les mots de l'oubli.
Des mots pour rien, pour se dire un brin.
Des mots pour crier, besoin de se libérer.

Des mots ravalés, ceux de la dignité
Des mots bricolés, fin de nuit agitée
Des mots dans le café, aux matins avortés
Des mots un peu pressés, pas le temps de rédiger.

Des mots d'amitiés, heures douces partagées
Des mots a demi effacés, pas envie d'en crier
Des mots doux susurrés, gardons l’intimité
Des mots pas toujours assurés, pure timidité.

Les mots d’amour, eux reviennent toujours
Des mots de sourd, aux gestes lourds
Des mots écrasés, par le poids des regrets
Des mots cachés, honte ou envie de jouer.

Des mots secrets, dans un coeur enroulé
Des mots sacrés, dans le cœur attachés
Des mots s’y créent, l’émotion avouée
Des mots sucrés, et pas de notes salées.

Des mots de minuit, des mots de la vie
Des mots de tous les jours, simples comme bonjour
Des mots à relire, tirent parfois un sourire
Et le mot de la fin, « zut ! je bosse demain ! »

 

 

Ecrit par PetitRenard, à 23:59 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Dimanche (07/01/07)
Et l'an neuf

Sortie nocture sous cette lune pleine, le vent de sable me giffle les joues. Dune après dune le désert s'étale devant mes yeux et mon esprit s'évade et se dissout, comme le granit devient sable... Nul bruit aux environs si ce n'est le vent, et cette solitude profonde qui m'envahit. Malgré le groupe dans le bivouac déjà lointain, je me sens seul et pourtant si bien. Un goût d'infini réside en ces lieux: combien de grains de sable? Combien de soleils égrennés sur le grand sablier du temps? Le premier dénombrable mais qui le ferait? Le second ne l'est pas et qui s'en dérangerait? Besoin de nombres, rêve de l'ombre; et pourquoi se biler avec ces calculs, petits cailloux sous ma mine râlent?

Et puis l'an passe comme la caravanne sans que le chien n'aboie, ni ne boive d'ailleurs. Et puis tout est pareil: le même vent qu'avant, les mêmes dunes sous la lunes, les même gens sous la tente (sans attente?). Un an de plus sur le grand conteur; tout cela m'étourdit et me tourne les sens comme les trente six chants d'elle. Et puis si le vent s'appaise, je verrai le chasseur et Cassiopée, plantés dans ce ciel sans fin. Nos millénaires sont leurs secondes à la lumière de nos petites sondes. Je prends l'air et regarde à la ronde; le sable froid sous mes pieds me ramène à ce monde.

Mais qu'espérais-tu voyageur? Te voir ici révéler les secrets du bonheur?

Ecrit par PetitRenard, à 23:05 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Dimanche (19/11/06)
Les poupées fantastiques
Un corbeau passant par là,
Je lui pris une plume
Et de sa noirceur d'encre
Rédigeai dans la brume
Ecrit par PetitRenard, à 01:50 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Samedi (18/03/06)
Aube

C'est pour elle que mon coeur s'abat, reine d'or riant et déesse de la promesse ; son visage porte le sourire de l'aube annonçant la chaleur estivale sur les plaines en éveil. N'entends-tu pas l'écho de sa voix raisonner jusqu'au coeur de la vallée? Prête l'oreille et rends-toi attentif.

Je l'entends, je l'attends... Elle approche sans me connaître encore. Exulte mon coeur : fais place nette et prépare la au bonheur. Le prophète aux voix divines n'avait-il pas annoncé notre rencontre « lorsque tu seras entré dans la Grande Famille »? Je m'apprête et je laisse le temps au temps. Il est mon allié. La mystérieuse Grande Famille elle aussi... Famille des étoiles qui brillent sans cesse au firmament. Mais pour l'heure l'aube est frémissante et j'attends le jour...


Ecrit par PetitRenard, à 19:53 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Jeudi (16/03/06)
Saint Patrick sympathique
Je me souviens d'un temps où cette période ne me fut pas aussi agréable, non par manque de bière mais parce que la vie est ainsi parfois ; changeante aussi, heureusement ; passionnante? Ah si vous saviez.
Ecrit par PetitRenard, à 23:46 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Samedi (07/01/06)
Bonne anée
--> (=> comme disait le méhariste)

Sur une plage lointaine...

Ecrit par PetitRenard, à 21:52 dans la rubrique "Apprivoisement".
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Samedi (29/10/05)
Chemins...

- Pourquoi est-ce que l'on tombe?
- Pour apprendre à se

Ecrit par PetitRenard, à 21:48 dans la rubrique "Apprivoisement".
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