PetitRenard : Merci pour ces gouttes d'or, dans ce désert qui dort...
Kabotine : j'ai failli croire que ce blog était vide... mais en faisant défiler le joli fond je n'ai pas été décue...
PetitRenard : Oupsss, merci d ton obstination et de ton passage... En effet, ça passe mal sous Internet Explorer... Firefox me convient sans doute mieurx ;)
becassine : Bonsoir Petit Renard , j'aime bien ton désert ..ce ti soleil au loin ...cet étendue de sable ...on doit être bien !:)
PetitRenard : L'Adrar sous le vent, un premier de l'an... Merci de ton passage ;)
becassine : Bisous petit renard :)
PetitRenard : Kikoo becassine. Big Bisous et Bonne Année ;)
gribouillon : un petit bonjour en passant...cela fait si longtemps :)
PetitRenard : Coucou gribouillon! Cela fait si longtemps en effet!!! Heureux de te voir passer, au gré du vent!
MangakaDine : Salut PetitRenard, je t'écris ici parce que j'espère que cet endroit tu en prends encore soin et que tu ne vas pas le laisser à l'abandon. Voici un petit article pour éradiquer les spams de Joueb, si jamais ca te dit de venir nous aider, c'est par là : [Lien]
PetitRenard : Merci MangakaDine, j'ai en effet pris soin de réserver le mode Admin à quelques élus... (j'aime pas les spams)!
Nous écrivons nos histoires à l'encre d'échine,
Nos dos fourbus des vicissitudes de la vie,
Il y aurait de quoi remplir des magazines
Quand parfois la lassitude l'emporte sur l'envie.
Au dehors il y a de si belles vitrines
Tant de vies aisées sources de jalousies
Tout ce qui nous manque nous chagrine
Nous aimerions tant avoir le paradis.
Nos esprits là s'envolent sur les lignes
Quelques écrits témoins de nos avis
Et nos doutes récurrents persistent et signent
Ne connaîtront-ils donc jamais l'oubli?
Ah tous ces artistes qu'on assassine,
Au nom d'une morale ou d'une hérésie,
Si toutes nos douleurs n'avaient pour médecine,
Que de bien piètres anesthésies.
Le peintre pleure devant sa tzarine,
L'écrivain saigne dans ses poésies,
Le sculpteur blesse ses figurines,
Et le musicien se perd en mélodies...
Commentaires :
Il est vrai que chaque coin de rue est vitrine de tant d'improbables et impossibles mais que derrière celui-ci s'ouvre une nouvelle voie çà toutes ces opportunités qui demeurent souvent invisibles lorsqu'on suit toujours pareillement les mêmes trottoirs, les yeux rivés sur les mêmes envies.
L'artiste laisse son pinceau deviner la suite du tournant, le musicien y aventure quelques mélodies, le sculpteur en modèle le relief, lécrivain en décrit les merveilles ...
Et notre attention s'éveille, s'invite au voyage et, qui sait, peut-être découvrira-t-elle ce nouveau paysage dont notre âme habite ses secrets désirs ?
Amicalement
Songe
Et puis il est difficile d'être accepter dans les ailleurs, même lorsque notre attention se laisse inviter au voyage...
Au plaisir de te revoir ;)
Cependant, très jolis vers, très joli poème, très jolis bravos, et j'ai beaucoup aimé la fin, même si elle ne reflète pas vraiment ce que je pense...
myel
qui sait, peut-être que le paradis nous attend au coin de la rue, on peut toujours espérer.
bisoux
myel