PetitRenard : Merci pour ces gouttes d'or, dans ce désert qui dort...
Kabotine : j'ai failli croire que ce blog était vide... mais en faisant défiler le joli fond je n'ai pas été décue...
PetitRenard : Oupsss, merci d ton obstination et de ton passage... En effet, ça passe mal sous Internet Explorer... Firefox me convient sans doute mieurx ;)
becassine : Bonsoir Petit Renard , j'aime bien ton désert ..ce ti soleil au loin ...cet étendue de sable ...on doit être bien !:)
PetitRenard : L'Adrar sous le vent, un premier de l'an... Merci de ton passage ;)
becassine : Bisous petit renard :)
PetitRenard : Kikoo becassine. Big Bisous et Bonne Année ;)
gribouillon : un petit bonjour en passant...cela fait si longtemps :)
PetitRenard : Coucou gribouillon! Cela fait si longtemps en effet!!! Heureux de te voir passer, au gré du vent!
MangakaDine : Salut PetitRenard, je t'écris ici parce que j'espère que cet endroit tu en prends encore soin et que tu ne vas pas le laisser à l'abandon. Voici un petit article pour éradiquer les spams de Joueb, si jamais ca te dit de venir nous aider, c'est par là : [Lien]
PetitRenard : Merci MangakaDine, j'ai en effet pris soin de réserver le mode Admin à quelques élus... (j'aime pas les spams)!
Le businessman de la quatrième planète compte les étoiles quil possède : il prétend les posséder toutes car il a eu lidée le premier... Le petit prince reste surpris :
Moi, dit il encore, je possède une fleur que jarrose tous les jours. Je possède trois volcans que je ramone toutes les semaines. Car je ramone aussi celui qui est éteint. On ne sait jamais. Cest utile à mes volcans, et cest utile à ma fleur, que je les possède. Mais tu nest pas utile aux étoiles.
Le businessman ouvrit la bouche mais ne trouva rien à répondre, et le petit prince sen fut.
« Les grandes personnes sont décidément tout à fait extraordinaires », se disait-il simplement en lui même durant le voyage.
Hum Je ne juge pas mais jai mal de voir certains businessmen courir après ces possessions, justifier leurs actes parfois inhumains, leur cynisme, par cette soif de toujours gagner plus ; ils vendraient père et mère pour atteindre leur idéal de richesses Mais jamais il ne parviendrons à destination car ils en voudrons toujours plus. Hélas, moi aussi parfois je me laisse gagner par ce désir, plus par sens de justice et déquité que par réel besoin dêtre plus riche. Alors je marrête un peu sur la planète 328 et je my sens seul, très seul : je ne désire pas être roi, ni vaniteux, ni businessman ni alcoolique non plus (peut-être lissue des trois premiers types lorsquils constatent que leur rêves ne pourront être assouvis ?).
Cela me renvoie au blues du businessman dans Starmania :
Et cest peut-être lextrême inverse : combien dartistes vivent sans le sou ? Et pourtant, nest il pas sain parfois de savoir se battre pour ses idéaux et ses aspirations plus que pour ses biens et ses possessions (Je prie les choses et les choses mont pris...).
Alors non, je ne veux pas être un businessman!
On retrouve ici un peu du tempérament des précédentes personnes rencontrées : ce désir de posséder. Mais là où le roi désire posséder des sujets (planète 325) et le vaniteux des admirateurs (planète 326), notre businessman lui souhaite posséder des étoiles : lattrait de ce qui brille et qui peut faire défaut à autrui... Lorsque nous avons maîtrisé nos soifs de régner et de se faire admirer, savons nous également nous défaire de ces besoins de posséder, damasser de largent, du confort ? Surtout lorsque notre fortune ne se résume en fin de compte quà un chiffre sur un compte bancaire (ou plusieurs). Tout cela nous sera un jour enlevé, nous nemporterons rien de ce que nous possédons. Tel les stoïciens, savons nous nous défaire de ces biens matériels ? Il ne sagit pas de vivre pauvrement et chichement lorsque lon peut soctroyer un certain confort de vie, mais à bien y regarder, cherchons nous le confort pour mieux vivre, ou ne vivons nous que pour rechercher plus de confort et de possessions.