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myel : Un brin de pluie pour réveiller ton désert
PetitRenard : Merci pour ces gouttes d'or, dans ce désert qui dort...
Kabotine : j'ai failli croire que ce blog était vide... mais en faisant défiler le joli fond je n'ai pas été décue...
PetitRenard : Oupsss, merci d ton obstination et de ton passage... En effet, ça passe mal sous Internet Explorer... Firefox me convient sans doute mieurx ;)
becassine : Bonsoir Petit Renard , j'aime bien ton désert ..ce ti soleil au loin ...cet étendue de sable ...on doit être bien !:)
PetitRenard : L'Adrar sous le vent, un premier de l'an... Merci de ton passage ;)
becassine : Bisous petit renard :)
PetitRenard : Kikoo becassine. Big Bisous et Bonne Année ;)
gribouillon : un petit bonjour en passant...cela fait si longtemps :)
PetitRenard : Coucou gribouillon! Cela fait si longtemps en effet!!! Heureux de te voir passer, au gré du vent!
MangakaDine : Salut PetitRenard, je t'écris ici parce que j'espère que cet endroit tu en prends encore soin et que tu ne vas pas le laisser à l'abandon. Voici un petit article pour éradiquer les spams de Joueb, si jamais ca te dit de venir nous aider, c'est par là : [Lien]
PetitRenard : Merci MangakaDine, j'ai en effet pris soin de réserver le mode Admin à quelques élus... (j'aime pas les spams)!

Pansés pour moi-même...

Que faire quand les mots sont creux, les écrits se croisent et les distances se creusent ? Les poètes pleurent en d’autres crises. D’où vient cette blessure subtile, ce sentiment intime et pourtant tactile, la fuite du temps en ces lignes futiles ? Le secret que je cache à mon insu, quand se créent les mots de mes cris, se révèle peu à peu en ses creux inégaux. Et si le dessein n’est pas clair, c’est qu’il faudra y revenir, par touches successives…

Et cela vous laisse un sentiment d’idéal perdu, l’impression d’un bonheur jadis connu mais qui vous serait désormais interdit. Et c’est dans le désir que le poète se perd en ses vers : c’est le vœux d’une caresse légère, qui soudain de la poule vous donne la chair. Et dans ce frémissement à faire s’effondrer les plus grandes tours, le souffle léger exhalé par les lèvres empruntes d’amour, un laps d’éternité à soudain sous vos yeux pris cours. Et dans ces étreintes qu’en rêve on peut vivre cent fois, dans ces « Je t’aime » le soir au fond des bois, dans ces poèmes qu’on peu écrire sans loi, toujours ce thème qui nous redit l’indicible émoi.

Mais le poète, dans sa supposée malédiction, connait en son cœur, du désir la valeur. Et pour la préserver d’une probable frustration, préfère au plaisir, le simple souvenir de cette vive émotion. Alors il repart solitaire dans ce monde, tentant ici ou là d’écrire ses passions. On le croit triste, nostalgique ou sans raison alors qu’il cherche toujours un cœur à l’unisson…

Ecrit par PetitRenard, le Lundi 21 Janvier 2008, 22:56 dans la rubrique "Regards".


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